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Ca ne colle pas, ça agrafe
By Svetlana Posted in Publication on 25 juin 2015 0 Comments 2 min read
Meurtres à l'agrafeuse - Jour 1 - Confession Previous Quelques nouilles pas cuites Next

40Vous vous souvenez ? A la fin de l’année dernière, j’avais annoncé que je comptais auto-éditer quatre romans cette année (non, j’ai peur de rien). Un tous les trois mois donc.

En janvier, il y avait eu Quand la mousse pousse ; en avril, c’était Point de fuite. Et comme juillet approche, il est temps de dévoiler le grand gagnant mrgreen Après maints débats intérieurs, c’est donc Comment j’ai tué sept personnes avec une agrafeuse qui a gagné cet honneur tongue

Qu’est-ce donc que cette petite chose ? Eh bien, si à la base, c’est du policier (mon premier essai, haha), c’est surtout du burlesque entièrement dialogué. Oui, j’ai récidivé après la mousse. C’est donc un petit huis clos dans un commissariat pour le moins étrange en compagnie de sept personnages qui marchent un peu sur la tête.

Contrairement à beaucoup d’autres histoires, celle-là est née grâce à son titre. Avec des collègues d’In Media Res, on en était à chercher des titres bizarres et celui-ci m’est venu tout naturellement mrgreen Un quart d’heure plus tard, j’avais l’histoire dans les grandes lignes et encore un quart d’heure plus tard, je m’étais lancée dans les dialogues dans la joie et la bonne humeur.

Pourquoi du dialogué, encore et toujours ? Le truc, c’est qu’à l’époque, la mousse était déjà bien écrite et n’appelait pas de suite (chose qui a été rectifiée depuis :3) et moi, j’avais envie de retenter l’expérience d’écrire un roman entièrement en dialogues. En plus, le policier, je ne l’avais encore jamais tenté. Donc je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais.

Allez, en avant pour un petit résumé :

Au commissariat de Jauneprairie, on est sur le pied de guerre. Un crime des plus sanglants vient de secouer la ville.

Le coupable ? Oh, inutile de le chercher trop loin. Il n’a pas jugé bon de se cacher pour mettre la police en déroute. Non, non. Il a préféré se rendre, sa conscience le chatouillait… Et en plus, il a décidé de ne pas se faire prier pour raconter son histoire.

Tout est donc bien qui se finit bien ? Si seulement…

Ce roman sortira le 4 juillet en numérique et papier sur les canaux habituels. La semaine prochaine, vous pourrez découvrir le début à travers cinq chapitres quotidiens. Et comme toujours, il y aura un concours pour accompagner ce lancement mrgreen

J’espère donc vous retrouver sur l’agrafeuse tongue

couverture-mini

auto-édition Comment j'ai tué sept personnes avec une agrafeuse


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